Comment une commune se transforme

Vous voulez comprendre par quels mécanismes se transforme une commune du Grand Paris ? Comment, à l’inverse du discours politique, une frénésie de construction modifie à vive allure un environnement calme et verdoyant ? Pour cela, il ne faut pas chercher, ou pas uniquement, de grandes décisions, des recherches effrénées d’enrichissement,

Pour comprendre, il faut aller dans le détail des décisions à la parcelle, découvrir comment l’urbanisme est la proie de logiques antagoniques à des niveaux que ne peut saisir qu’une observation minutieuse du terrain, des jeux d’acteurs, de l’évolution et de l’interprétation des documents d’urbanisme. C’est à ce type d’enquête, quasi policière, que s’est livré Dominique Lorrain, chercheur en urbanisme et habitant de Villiers-sur-Marne. Sur sa propre commune, il remonte minutieusement le fil des décisions jusqu’à un niveau très fin pour comprendre par exemple comment une parcelle destinée à des bureaux finit par accueillir des résidences pour étudiants. Comment la « gestion par la crise » « d’institutions autistes » détruit durablement le cadre de vie des habitants. Comment les petits promoteurs font « des coups » et disparaissent. Comment le passage du coefficient d’occupation des sols (COS) au coefficient d’emprise au sol (CES) permet de passer d’une surface constructible de 300 à 1200 mètres carrés etc.

Cette recherche est relatée par Dominique Lorrain dans son passionnant ouvrage L’Urbanisme 1.0. Enquête sur une commune du Grand Paris.

Il viendra nous en parler vendredi 11 octobre à partir de 8h45 à L’Arrosoir 75 avenue Daumesnil 75102 (station de métro la plus proche : gare de Lyon).

Inscriptions jusqu’au 10 octobre : ajibat@ajibat.fr

Pour préparer le rendez-vous, vous pouvez charger les documents qui localisent et montrer les opérations sur ce lien http://www.raisonsdagir-editions.org/wp-content/uploads/2018/05/9782912107947-2-5.pdf

Rencontre réservée aux membres de l’Ajibat

Rencontre avec Sébastien Maire, délégué général à la transition écologique et à la résilience de la ville de Paris.

Canicule, tempêtes, inondation, terrorisme, crise sanitaire, manifestations, piratage informatique… les crises que les villes doivent affronter se multiplient, sont toujours plus complexes et peuvent se produire simultanément. Paris, qui fait partie du réseau des 100 villes résilientes (100 RC) a développé sa stratégie de résilience, pilotée par Sébastien Maire.

Il viendra nous expliquer en quoi consiste la résilience d’une ville et comment on élabore une stratégie résiliente.

Rendez-vous le mercredi 4 décembre, à 8h45, au café Zimmer, 1 place du Châtelet 75001 Paris.

Inscription jusqu’au 2 décembre : asso.ajibat@gmail.com

Réservé aux membres de l’Ajibat

Rencontre via Lifesize avec Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement au sein du ministère de la Transition écologique.

L’actualité du logement étant particulièrement riche, nous axerons nos échanges autour de la relance de la construction de logements, et notamment de logements sociaux, et du volet logement du projet de loi Climat et résilience.

Nous enverrons les liens de connexion la veille de la rencontre à celles et ceux qui ce seront inscrit.e.s.

Réservé aux membres de l’Ajibat.

Rencontre avec Olivier Klein et Nicolas Grivel,

respectivement président et directeur général de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru).

Un peu plus de deux mois après l’annonce de l’augmentation de deux milliards d’euros du budget du NPNRU, cette rencontre sera l’occasion de revenir sur l’actualité du programme et de l’agence mais aussi plus largement sur les enjeux de la rénovation urbaine, de la reconstruction de logements sur site à la gestion des quartiers au-delà des travaux.

Vendredi 16 avril de 9h à 11h, cette rencontre se fera via zoom. Plus de précisions seront données par lettre d’information d’ici la rencontre.

Inscription obligatoire à : asso.ajibat@gmail.com

Réservée aux membres de l’Ajibat

Le casse-tête de la transformation de bureaux en logements

Le sujet de la transformation de bureaux en logements a pris une ampleur inédite depuis la crise du coronavirus avec l’amplification du télétravail. Action Logement a mené une étude pour l’Île-de-France, sur la base d’hypothèses qui révèle que si 60 % des emplois s’exercent en télé travail deux jours par semaine, il y aura un potentiel de 300 000 m2 supplémentaires par an, transformables en logements. Il y a aujourd’hui quelques 4 millions de m2 de bureaux vacants en région parisienne, soit une augmentation de 30 % entre 2019 et 2020. Parallèlement, la construction de logements, sociaux et privés a fortement dévissé en 2020.

Cette façon de « faire la ville sur le ville » participant à la réduction du rythme de l’artificialisation des sols a le vent en poupe. Il a été le sujet d’appel à projet innovant tel que Réinventer Paris et Inventons la Métropole du Grand Paris. Action logement a créé une foncière de transformation immobilière pour la production de 20 000 logements sociaux, intermédiaires, en accession libre ou à prix abordable, créés à partir bureaux transformés. Elle va mobiliser des moyens importants : 1,5 milliard d’euros sur 3 ans, 50 % en fonds propres et 50 % en prêts à très longs termes.

Les logements issus de la reconversion de bureaux sont à la fois des logements familiaux mais aussi des résidences étudiantes ou séniors ou du coliving pour des personnes en transition.

Mais transformer des bureaux en logements est loin d’être un long fleuve tranquille : coût important d’acquisition des immeubles, complexité de la transformation, volonté politique, ingénierie…

Raphaël Tréguier directeur cabinet de conseil Kareg spécialisé dans la transformation de bureaux en logements, Alexandre Chirier, directeur de la foncière logement d’Action logement dédiée à cette activité, évoqueront les différents enjeux de cette mutation et Norbert Fanchon, président du directoire du groupe Gambetta.

Rendez-vous le mardi 21 septembre à partir de 8h45 pour un échange avec eux entre 9 h à 11h au café Zimmer 1 place du Châtelet.

Inscription indispensable avant le vendredi 17 septembre : asso.ajibat@gmail.com

Réservé aux membres de l’Ajibat

Rencontre avec le sociologue Julien Damon, auteur de l’étude « Héberger, c’est loger ? Aux frontières du logement ordinaire » et Catherine Sabbah, déléguée générale de l’Idhéal, l’Institut des hautes études pour l’action dans le logement, commanditaire de l’étude

RV au café Zimmer à partir de 8h45.

La trêve hivernale a réveillé, dans le débat public, la question des mal-logés et des sans-domicile, à la rue ou hébergées temporairement dans des structures d’accueil. La période est également marquée par de nouvelles controverses sur l’hébergement des demandeurs d’asile. La crise Covid a remis dans l’actualité, de façon particulièrement douloureuse, la question de l’hébergement des personnes âgées dépendantes. Toute l’année se posent les problèmes de l’hébergement des jeunes actifs, des étudiants, des personnes handicapées. 

Mais quels sont les points communs à ces différentes formules d’hébergement ? Quelles sont les caractéristiques de ce secteur aux cibles variés ? Quels sont les liens avec les politiques du logement ? Quels sont les ordres de grandeur et les évolutions des différents dispositifs d’hébergement ? 

C’est pour répondre à ces interrogations et pour produire un panorama sur ce sujet si disputé dans chacun de ces segments, mais jamais traité dans son ensemble qu’une étude a été réalisée par le sociologue Julien Damon. 

En une vingtaine de fiches thématiques, « Sans-domicile et sans données ? », « Un secteur tout au long de la vie », « Logement d’abord: d’abord des hébergements »…, il dresse le tableau des structures existantes, de leur fonctionnement et de leur financement. 

Inscription obligatoire : asso.ajibat@gmail.com

Réservé aux membres de l’Ajibat

Rencontre avec Christine Leconte, présidente du Conseil national de l’ordre des architectes

Christine Leconte, présidente du conseil national de l’ordre des architectes depuis juin 2021, est aussi l’auteure avec l’urbaniste Sylvain Grisot de « Réparons la ville, propositions pour nos villes et nos territoires ». Elle réclame une place pour les architectes auprès des élus locaux, et le plus en amont des projets, et invite à partir de l’existant pour repenser la ville. Elle répondra aux questions de l’Ajibat le 4 octobre à 9 h.

Accueil à partir de 8h45 au café Zimmer 1 place du Châtelet.

Nombre de places limité à 15.

Inscription obligatoire : ajibat@ajibat.fr

Réservé aux membres de l’Ajibat, cotisation 2022

Rencontre avec le président et la directrice générale de l’Anah

Le 12 octobre, Thierry Repentin, le président de l’Agence nationale de l’habitat, et Valérie Mancret Taylor, sa directrice générale, viennent à la rencontre des adhérents de l’Ajibat. Mise en place du service France Renov’ et de Ma Prime renov’, certification des accompagnateurs Ma Prime renov », cohérence des différents guichets d’aide à la rénovation énergétique,… Les sujets seront nombreux.

Rencontre le 12 octobre à 9  h à l’Anah ; accueil à partir de 8h50.

Inscription obligatoire : ajibat@ajibat.fr

Réservé aux membres de l’Ajibat (cotisation 2022)

Rencontre avec Emmanuel de La Masselière, urbaniste indépendant, spécialiste des stratégies des villes et des territoires

Mardi 31 janvier 2023 9h30-11h30

En raison du mouvement de grève, la rencontre se fera via Zoom

Durant huit ans à l’EPA Plaine de France, Emmanuel de La Masselière a piloté le développement du Grand Roissy, au sein duquel s’est notamment inscrit le vaste projet d’aménagement du Triangle de Gonesse. Il vient de publier un livre tiré de cette expérience : Triangle de Gonesse, Autopsie d’un projet et remèdes pour de futures opérations d’aménagement.

Au-delà de l’histoire du projet et des controverses qu’il a suscitées, il en dresse un bilan critique et une analyse de l’aménagement à la française en émettant des propositions pour « refonder les objectifs et les process des grandes opérations d’aménagement ».

Inscription obligatoire : ajibat@ajibat.fr

Réservé aux membres de l’Ajibat (adhésion 2022)

La vente immobilière : un contrat consensuel ?

La vente d’un bien immobilier se conclut par l’accord des parties sur la chose et le prix. Mais ce principe est souvent en déphasage avec ce qu’en pensent les parties. Faut-il faire de la vente immobilière un contrat solennel devant notaire pour être mieux en adéquation avec la pratique? C’est l’une des propositions du congrès des notaires d’octobre 2022 à Marseille consacré à l’ingénierie notariale.

Pour exposer les motivations de cette réforme et les incidences qu’elle pourrait avoir sur la pratique de la vente immobilière, l’Ajibat propose une rencontre le mardi 7 mars 2022 (de 9 h à 11h) à la chambre des notaires 18 rue Pasquier, Paris 8e avec :

– Elodie Frémont, Thierry Delesalle et Arnaud Bayard, notaires de la chambre des notaires du Grand Paris

– Eric Allouche, directeur exécutif d’ERA France.

Pour ceux qui ne pourraient pas venir sur place le 7 mars, une participation est possible à distance (le lien de connexion vous sera transmis par mail).

Inscription auprès de Bertrand Desjuzeur
bertrand.desjuzeur@jurishebdo.fr
tél. 07 81 44 40 29

Rencontre avec François Rochon autour de son livre sur

Le Logement : critique d’une politique impossible

collection « Monde en cours », éditions de l’Aube, 2023

La France s’est habituée à la crise du logement. Malgré le succès de l’accession à la propriété et la construction d’un volumineux parc de logements sociaux, le coût du logement pèse lourd dans le budget des familles. Le mal-logement persiste, en dépit des dizaines de milliards d’euros de dépense publique. Mais, alors que le droit au logement opposable a rendu manifeste un problème systémique, pourquoi le pays n’a-t-il toujours pas entrepris une grande réforme d’ampleur, à la mesure de celle qui était intervenue voilà près de cinquante ans, pour donner la priorité aux aides personnelles au logement ? Ce livre tire le fil d’une politique jusque-là impossible et montre qu’une réforme est à portée de main.

Diplômé de l’École d’Urbanisme de Paris et docteur de l’École Nationale des Ponts et Chaussées, François Rochon est spécialiste de la politique du logement, acteur de ce secteur depuis une quinzaine d’années. Il a notamment coordonné les Rencontres nationales du logement et de l’habitat, puis assuré le secrétariat des rapports au congrès de l’Union Hlm, dont « Le logement social dans la société qui vient ». Ses recherches actuelles portent sur le modèle Hlm français. Aux éditions de l’Aube, dans la Bibliothèque des territoires, il a déjà publié « Le logement, l’habitat et le citoyen », coordonné « Habitants, militants » et un « Abécédaire du logement ».

RV à 9h15 au café Le Zimmer 1 place du Châtelet

Réservé aux membres de l’Ajibat (cotisation 2023)

20 octobre 2023

Voyage d’étude dans la Métropole de Lyon aux côtés de la Serl, aménageur lyonnais

> La Duchère à Lyon : 10 ans après la labellisation Ecoquartier de ce quartier en renouvellement urbain souvent cité en exemple, quels retours d’expérience ?

> La Saulaie à Oullins (sous réserve), quel avenir pour les anciens terrains SNCF désormais libérés ?

Rendez-vous à la rentrée pour vous inscrire auprès de l’Ajibat

(réservé aux membres de l’Ajibat)

Rez-de ville, la dimension cachée du projet urbain 

Rencontre ave l’architecte-urbaniste David Mangin (agence Seura) autour du livre Rez-de ville, la dimension cachée du projet urbain qu’il a co-écrit avec l’architecte Soraya Boudjenane et publié aux éditions de La Villette.

RV à 8h50 le vendredi 3 mai au café Zimmer 1 place du Châtelet à Paris

Inscription auprès de : ajibat@ajibat.fr

Réservé aux membres de l’Ajibat (cotisation 2024)

Ajibat 

Voyage à Vienne

du mercredi 26 juin au samedi 29 juin 2024, 4 jours

Maximum 15 personnes

Vienne, capitale de l’Autriche, avec près de 2 millions d’habitants et en fort développement démographique, est régulièrement en tête des palmarès des villes où il fait bon vivre. Sa propreté, ses transports publics performants, ses 800 parcs et jardins qui occupent la moitié de son territoire et sa tranquillité expliquent ce titre de ville la plus agréable du monde. Mais elle le doit aussi à son parc de 43 % de logements à loyer abordable composé de 22 % de logements municipaux (loués 6,50 euros le mètre carré mensuel, soit un poids qui reste léger dans le budget des ménages) et 21 % de logements coopératifs à loyers contrôlés (7,9 euros/m²/mois) où vivent près de 60 % des Viennois, donc pas seulement les plus modestes. Dans chacun des 23 arrondissements, ces immeubles à loyer abordable accueillent, en effet, une population socialement très mixte et la ville continue de construire de grands ensembles de 3 000 à 5 000 logements, très appréciés des Viennois. C’est tout cela que nous allons découvrir avec, attention, des rencontres et des visites en anglais, la plupart du temps. 

Pré-programme, susceptible de modifications 

Mercredi 26 Juin

– 7h05 Départ Charles-de-Gaulle, arrivée à 9h, puis train jusqu’à Vienne Hauptbahnhof puis à l’hôtel Adina (tout à côté) pose des bagages ;

– 10h30-13h Rencontre avec Thomas Ritt, spécialiste du logement à l’Arbeiter Kammer, le puissant syndicat des salariés (Prinz Eugen Strasse 20-22) ;

– 13h15-14h30, déjeuner à Goldegg, un très beau café viennois, dans le même quartier ;

– 15h-19h30, après-midi avec l’architecte Much Untertrifaller qui nous fait visiter :

– les quartiers Kuku23 et In der Wiesen Sud,

– deux immeubles et une école dans le quartier au sud de Vienne ;

– dîner au Biergarten du Belvédère, dans le même quartier : s’il fait beau, c’est très agréable et à 15 mn à pied de l’hôtel.

Jeudi 27 juin 

– Départ 8h30 : visite en compagnie d’historiens spécialistes de Vienne la Rouge :

– 9h RabenHof, ensemble  municipal de 1925-1928 de 1000 appartements (adresse : Baumgasse 29-41-),

– 11h visite de Karl Marx Hof, au nord de Vienne, premier ensemble (1927-1930) de logement municipal, impressionnante forteresse de 1,5 km de long et 1270 appartements, avec son musée ;

– 13h déjeuner (restaurant italien dans le coin) ;

– 14h30 rencontre avec Christian Schantl, chargé des relations internationales du service logement de Vienne (Wiener Wohnen) qui nous emmène dans un nouveau quartier de 5000 logements, à NordBahnhof ;

– 17h (à confirmer) visite de Wohn Projekt, immeuble conçu en habitat participatif, livré en 2014 ;

– 19h30 pot dans un café le long du Danube.

Vendredi 28 Juin

– 9h Rencontre, à son bureau, de Gerald Koessl, représentant de l’association des bailleurs à profit limité (coopératives) Limited Profit Housing Association, le deuxième pilier du logement à loyer contrôlé de Vienne ;

– 11h (à confirmer) visite par un membre du conseil des locataires d’Alt Erlaa, énorme ensemble des années 1970, avec commerces, lieux de cultes, terrain de tennis, 7 piscines sur le toit ou intérieures : une ville dans la ville !

Et /ou visite de la ville nouvelle Seestadt.

Samedi 30 juin journée libre (visite de musées, brocante jusqu’à 14 h à Nachmarkt, tout près d’un superbe marché et du Pavillon de la Sécession… visite du musée du Belvedere ou mille autres possibilités dans cette ville aux 800 parcs et jardins) ;

– 18h30 départ hôtel.

Retour par Austrian Airline 20h25, arrivée à Charles-de-Gaulle à 22h25.

Détail pratiques. 

Les places sont limitées à 15 et seul.e.s peuvent participer celles et ceux qui sont à jour de leur cotisation Ajibat 2024 (45 €/an pour les journalistes, 450 pour les membres associés). 

Transport : L’Ajibat ne peut gérer les billets d’avion ou de train, aussi nous vous demandons de prendre vous-même vos titres de transport. L’avion Paris-Vienne par Austrian Arlines décolle de Roissy Charles-de-Gaulle à 7h du matin et arrive à Vienne à 9h… Le retour est à 20h25 de l’aéroport de Vienne, arrivée à Charles-de-Gaulle à 22h25 : coût de l’aller-retour, fin mars : 170 euros. 

Il y a un train de nuit par OBB Österreichische Bahn qui démarre gare de l’Est, mardi soir à 19h15 et arrive le lendemain à Vienne Hauptbahnhof à 10h13, retour samedi soir, pour un coût d’aller-retour plus élevé 250/300 euros.

Notre Hôtel est Adina Viena Belvedere (Canetti Strasse 3 : studio grand et confortable, petit déjeuner inclus), à 5 minutes à pied de la gare, 10 minutes à pied du Palais-musée du Belvédère.

Le coût global est de l’ordre de 900 euros : 3 nuits à l’hôtel, 6 repas, les transports sur place depuis l’hôtel, les frais de visites à l’exception d’un musée qui devra être payé en liquide (15 €). L’Ajibat prend à sa charge, pour les journalistes indépendants ou ceux que leur rédaction ne défraie pas, 450 euros. Le reste à la charge des participants n’inclut donc pas le billet d’avion ou de train, ni le repas du samedi.

Le nombre de places est limité et les inscriptions définitives, après validation de la demande, devront être accompagnées du versement d’un acompte de 350 euros.

Merci de vérifier que votre carte d’identité ou votre passeport est en cours de validité aux dates du voyage. Chacun.e doit avoir une assurance. 

Inscrivez-vous sans tarder @ :  ajibat@ajibat.fr

Réservé aux membres de l’Ajibat (cotisation 2024)

Voyage d’étude Ajibat : 7 et 8 novembre 2024

Entre Sète, Agde et Pézenas : 

Découvrir un territoire convoité à protéger 

Haut-lieu du tourisme, les villes de Sète, Agde et Pézenas sont soumises à une pression foncière importante. Les deux agglomérations : Sète Agglopôle Méditerranée et Hérault Méditerranée tentent de rester attractives tout en maitrisant le développement urbain et en protégeant les activités ostréicoles ainsi que les importants espaces ruraux qui la composent, notamment les vignobles. La population du territoire est, de plus, fragile, avec 19,4 % des habitants vivant sous le seuil de pauvreté selon France Travail. Les problèmes d’accès au logement pour la population comme pour les saisonniers, les problématiques de déplacement sont donc des enjeux importants du territoire. L’Ajibat vous propose de vous rendre sur place les 7 et 8 novembre 2024 et de visiter les villes d’Agde, Pézenas et Sète qui présenteront leurs projets.

En pratique : Un montant de 20 € est demandé à l’inscription pour réserver ce voyage d’étude, par virement, de préférence, ou chèque à l’ordre de l’Ajibat. Les billets de train TGV sont à prendre par chacun.e des participant.e.s. Sauf mention contraire, l’Ajibat se charge de réserver les chambres d’hôtel. L’Ajibat prend en charge la moitié du coût du billet de train, et prend en charge la chambre d’hôtel et le déjeuner pour les journalistes qui ne peuvent se faire rembourser leurs frais par leur rédaction. Les membres associés sont bienvenus, mais ne peuvent bénéficier de l’aide financière de l’Ajibat. 

Inscriptions : auprès de nathalie.coulaud@wanadoo.fr et/ou martine.cartier@cartier-rp.fr

Attention : les trains sont vite complets vers le sud. Merci de confirmer avant le 15 octobre 2024.

Programme : Découvrir un territoire convoité mais à protéger

Dates : départ depuis Paris, le jeudi matin 7 novembre et retour le vendredi soir 8 novembre 2024.

Jeudi 7 novembre

Départ depuis Paris-Gare de Lyon : 06h38 arrivée à Agde 10h48

Présentation du territoire et de l’agglomération avec Sébastien Frey, maire d’Agde et président de Hérault Méditerranée.

Visite du centre-ville d’Agde : réhabilitation du centre-ville, restructuration de 5 îlots, mise en valeur du patrimoine du Canal du Midi, création du pôle multimodal ferroviaire et du quartier attenant.

15h départ vers Pézenas 

Accueil par Armand Rivière, maire de Pézenas et présentation des enjeux du centre-ville historique. Problématique de lutte contre l’habitat insalubre, réaménagement des entrées de ville et création de nouveaux logements en centre-ville. 

Visite du centre historique de Pézenas avec un conférencier et promenade aux abords du centre-ville pour voir les projets.

18h

Départ pour l’hôtel Garrigae Distillerie de Pézenas. Dîner libre 

Vendredi 8 novembre 

9h30 RV à la mairie de Nézignan-l’Évêque où nous serons accueillis par M. Cantagrill adjoint au maire de Nézignan-l’Évêque : explications sur la lutte contre la cabanisation : exemple de Nézignan-l’Évêque. 

11h30 : départ de Pézenas en train TER à 12h34 – Arrivée Sète à 12h47 

Arrivée à Sète pour le déjeuner : accueil Agglopôle ou mairie, sandwichs ou café. 

Présentation du territoire par la direction de l’aménagement de Sète Agglopôle Méditerranée, le maire de Sète François Commeinhes et M. Linares, vice-président à la Transition écologique et à l’Aménagement durable du territoire.

15h Départ en bus avec le directeur de l’aménagement et Alexandre Bouton d’Urban Act qui accompagne le territoire sur ces thématiques. 

Visite de la requalification des friches industrielles autour de l’étang de Thau.

Visite des aménagements des Salins-de-Villeroy (propriété du Conservatoire du littoral gérée par l’Agglopôle).

La requalification de l’Ile-de-Thau à Sète (quartier sensible).

Requalification du centre-ville de Frontignan.

Retour vers Paris depuis la gare de Sète à 18h26 – Arrivée à 22h18 à Paris Gare de Lyon.

Possibilité pour les personnes qui restent un peu plus longtemps de visiter le Château Laurens (un bijou art nouveau) récemment restauré à Agde. 

(réservé aux membres journalistes et associés, cotisation 2024)