Journée d’étude à Rennes métropole le mardi 15 janvier 2019
Pré programme
Départ gare Montparnasse à 7h06, arrivée à Rennes à 9h07
9h20 : arrivée à l’hôtel de Rennes-métropole
Martine Kiss et Anne-Katrin Le Dœuff : principes et programme de la journée
9h45 – 12h30 : La politique locale de lutte contre les ségrégations socio-spatiale – Le loyer unique et le bail réel solidaire
- 9h45-10h15 : Nathalie Appéré, Maire de Rennes : la politique locale de l’habitat de Rennes-métropole, les nouvelles ambitions
- 10h15-11h15 : Nathalie Demeslay, responsable de l’habitat de Rennes-métropole des modèles de « loyer unique » et de « bail réel solidaire »
- 11h15-12h15 : Témoignages de Belard du Plantys, directrice générale d’Archipel habitat et de Pascal Masson, directeur général d’Habitation familiale
- 12h15-12h30 : Espacité : illustrations au travers de l’étude d’impact relative au loyer unique.
12h30-14h : Déjeuner (à définir avec Ajibat)
14h30 – 16h30 : La politique de lutte contre l’habitat indigne au centre de la ville de Rennes
- 14h30-15h30 : Mélanie Barchino, chef de projet à la SPLA Territoires publics : contours et mode opératoire de l’opération de Rennes Centre ancien ;
- 16h-17h : visite commentée du centre ancien de Rennes (éventuellement à prévoir sur une séquence plus longue).
17h35 : départ à la gare de rennes pour Paris, arrivée à Montparnasse à 19h04
Inscription auprès de Martine Kis d’ici le 2 janvier.
Réservé aux membres de l’Ajibat
Survols au CAUE 92 à Nanterre, visite Ajibat de l’exposition de photographies aériennes des villes
Le mardi 19 février à 12h30
Présentée par Olivier Namias, co-commissaire de l’exposition avec Laure Waast
RV sur place à 12h25 :
279, terrasse de l’Université
RER A, station Nanterre-Préfecture, à 3 min à pied des sorties 2 et 3 (descendre en tête de rame en venant de Paris)
L1, station Grande-Arche, 20 min à pied (1,7 km)
Inscription obligatoire : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat
Survols
La photographie aérienne des villes
Il y a 160 ans, à 80 mètres au-dessus du Petit-Clamart, Nadar réalisait la première photographie aérienne de Paris. Depuis lors, cette technique pionnière n’a cessé d’informer les villes et d’inspirer leur dessin. Elle a contaminé l’art et participé à la conquête spatiale, pris part aux guerres, contribué aux études archéologiques et géographiques.
Spectaculaire, documentaire, promotionnelle ou critique, elle décrypte nos territoires, témoignant du devenir urbain de la planète. Objet d’un engouement populaire d’un jamais démenti au cours d’un siècle et demi, elle se renouvelle avec les drones, Google Earth ou les travaux des photographes plasticiens.
L’exposition développe deux parties. La première, thématique, s’appuie sur de nombreux documents d’archives empruntés au service historique de La Défense, à l’IGN, à la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, et aux Archives départementales des Hauts-de-Seine. La deuxième partie présente une sélection exigeante de travaux d’auteurs contemporains, héritiers directs de Berenice Abbott ou René Burri, également présents sur nos cimaises.
En savoir + : http://www.caue92.fr/Exposition-SURVOLS.html
Petit-déjeuner avec Éric Charmes autour de son livre La Revanche des villages, essai sur la France périurbaine, le mercredi 13 mars 2019 à 9h.
Au café Le Viaduc – 43 avenue Daumesnil 75012 à partir de 8h50
Éric Charmes est chercheur en études urbaines, auteur de « La Revanche des villages, essai sur la France périurbaine ». Après plusieurs ouvrages dont « La Ville émiettée, essai sur la clubbisation de la vie urbaine », paru en 2011, il poursuit dans ce livre, écrit avant la crise des gilets jaunes, ses recherches sur l’espace périurbain, analysé sous toutes ses facettes depuis le début de la crise des gilets jaunes. Pour lui, il faut sortir de la « diabolisation » du périurbain et mettre plutôt l’accent sur les atouts de ces territoires, où s’hybrident villes et campagnes, et possibles lieux de réinvention de l’action collective.
Inscriptions obligatoire avant le 11 mars : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat
Rencontre avec Pascal Madry le mercredi 27 mars à 9h
Café Le Viaduc 43 avenue Daumesnil 75012 Paris, accueil à 8h50.
Suite du feuilleton de l’Ajibat sur l’urbanisme commercial. Notre rencontre avec Franck Gintrand nous a permis de faire le point sur la situation actuelle, caractérisée par la concurrence périphérie-centre-ville.
Avec Pascal Madry, directeur de l’Institut pour la ville et le commerce et chercheur associé en urbanisme et en immobilier commercial à l’université de Bretagne occidentale, nous abordons l’étape suivante. Celle qui voit la montée en puissance du commerce sans l’interface physique de la boutique. Un sujet dont les décideurs et urbanistes doivent s’emparer dès maintenant. Va-t-on vers une désintermédiation complète ? Les boutiques vont-elles intégrer l’apport d’internet ? Quelle alliance entre périphérie et centre-ville face à la concurrence de la logistique et du numérique ? Si la dématérialisation progresse, que faire des centres-villes et des périphéries ? Quel avenir pour l’espace public ? L’accessibilité aux biens sera-t-elle améliorée ? Une réflexion stimulante, qui renouvelle la problématique de l’urbanisme commercial.
Inscription obligatoire d’ici le 25 mars : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat.
Pourquoi les impayés augmentent-ils dans les copropriétés ?
Pourquoi le nombre de copropriétés en difficulté bondit-il depuis quelques années ?
L’Ajibat vous donnera les réponses lors de sa table-ronde organisée par Jérôme Augereau
le 14 mai de 9 h à 11 heures au café Le Viaduc 43 avenue Daumesnil (métro Gare-de-Lyon).
Accueil café à partir de 8h45.
Nos invités :
Émile Hagège : directeur général de l’Association des responsables de copropriété (ARC)
Mathilde Agussol : responsable du projet copropriétés en difficulté à l’Anah
José Juan Mateo : directeur délégué Procivis immobilier en charge de la certification QualisSr, destinée à valoriser les syndics spécialisés dans la prévention et le redressement des copropriétés en difficulté.
Merci de vous inscrire par mail à cette adresse : j.augereau@pap.fr
Réservé aux membres de l’Ajibat
Si la conjoncture immobilière est au beau fixe pour les promoteurs depuis quelques années, les retards de livraison et les malfaçons se font en revanche plus nombreux. Trois experts nous livreront leur analyse lors d’un petit-déjeuner organisé par l’Ajibat le mercredi 5 juin au Viaduc café, 43 avenue Daumesnil, 75012 Paris (métro Gare de Lyon).
Accueil petit-déjeuner dès 8h45. Début de la table-ronde : 9 heures précises.
Philippe Servalli : vice-président Fédération française du bâtiment (FFB) Grand Paris
Bruno Derville : directeur général immobilier résidentiel Vinci immobilier, membre de la Fédération des promoteurs immobiliers d’Ile-de-France
Michaël Pellaumail : responsable régional Ile-de-France de l’assureur SMA
Merci de confirmer votre venue par mail : j.augereau@pap.fr
Réservé aux membres de l’ajibat
Que deviennent les terres excavées d’Ile-de-France ?
10 millions de mètres cube de terres inertes sont excavées chaque année en région parisienne, soit 4 pyramides de Kéops…
S’agit-il d’un déchet ou d’un matériau recyclable ? Si oui, comment caractériser ces terres, en assurer la traçabilité, les transporter, les réemployer ? Quels services écosystémiques peuvent-elles rendre ?
Pour répondre à ces questions, l’Ajibat vous propose une rencontre avec Laurent Mogno, le président d’ECT, entreprise leader de la collecte et du traitement des terres. Celui-ci nous présentera cette problématique puis nous accompagnera lors d’une visite de site.
Rendez-vous mercredi 10 juillet à 9 h à la gare du RER D à Lieusaint-Moissy. Départ à 8h16 de Paris-Châtelet.
Un minibus nous y attendra. Nous partagerons un petit-déjeuner avec l’équipe d’ECT.
Nombre de participants limité à 6.
Inscription indispensable auprès de : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat
Comment une commune se transforme
Vous voulez comprendre par quels mécanismes se transforme une commune du Grand Paris ? Comment, à l’inverse du discours politique, une frénésie de construction modifie à vive allure un environnement calme et verdoyant ? Pour cela, il ne faut pas chercher, ou pas uniquement, de grandes décisions, des recherches effrénées d’enrichissement,
Pour comprendre, il faut aller dans le détail des décisions à la parcelle, découvrir comment l’urbanisme est la proie de logiques antagoniques à des niveaux que ne peut saisir qu’une observation minutieuse du terrain, des jeux d’acteurs, de l’évolution et de l’interprétation des documents d’urbanisme. C’est à ce type d’enquête, quasi policière, que s’est livré Dominique Lorrain, chercheur en urbanisme et habitant de Villiers-sur-Marne. Sur sa propre commune, il remonte minutieusement le fil des décisions jusqu’à un niveau très fin pour comprendre par exemple comment une parcelle destinée à des bureaux finit par accueillir des résidences pour étudiants. Comment la « gestion par la crise » « d’institutions autistes » détruit durablement le cadre de vie des habitants. Comment les petits promoteurs font « des coups » et disparaissent. Comment le passage du coefficient d’occupation des sols (COS) au coefficient d’emprise au sol (CES) permet de passer d’une surface constructible de 300 à 1200 mètres carrés etc.
Cette recherche est relatée par Dominique Lorrain dans son passionnant ouvrage L’Urbanisme 1.0. Enquête sur une commune du Grand Paris.
Il viendra nous en parler vendredi 11 octobre à partir de 8h45 à L’Arrosoir 75 avenue Daumesnil 75102 (station de métro la plus proche : gare de Lyon).
Inscriptions jusqu’au 10 octobre : ajibat@ajibat.fr
Pour préparer le rendez-vous, vous pouvez charger les documents qui localisent et montrer les opérations sur ce lien http://www.raisonsdagir-editions.org/wp-content/uploads/2018/05/9782912107947-2-5.pdf
Rencontre réservée aux membres de l’Ajibat
Le paradoxe virois : une journée à Vire-Normandie
Mercredi 30 octobre 2019
Malgré tous ses atouts, Vire-Normandie perd des habitants. La ville a donc lancé une série d’actions pour contrer ce déclin.
Dans le sud-ouest du Calvados, entre le Mont-Saint-Michel et Caen, Vire Normandie est une commune nouvelle née de la fusion en 2016 de huit communes. Sur les 17 400 habitants de cette « commune nouvelle, Vire avec ses 11 000 habitants en concentre la majeure partie.
Dans un paysage de collines et de bocage, bien située, à 20 minutes de Caen, elle est reliée par l’autoroute et le train. Un bassin d’emplois dynamique, un Territoire d’industrie (labellisé), une commune bénéficiant d’un investissement conséquent de la part des bailleurs et d’actions logement pour les salariés du territoire. Une opération programmée d’amélioration de l’habitat lancée en 2014 jusqu’à fin 2019 étendue sur environ 250 logements dont plus d’une centaine à nouveau occupés. Un programme Action cœur de ville sur le centre de Vire avec des restauration patrimoniales (xxe siècle).
Autant d’atouts et d’actions menées pour endiguer la baisse progressive du nombre d’habitants.
Pour nous en parler, Annie Rossi, la directrice générale des services, nous recevra après une pause au café Central sur la place de la Porte-Horloge, vestige du passé médiéval de la ville.
À midi, nous irons à l’inauguration de l’une des deux copropriétés réhabilitées qui ont fait l’objet d’une restauration patrimoniale exemplaire des bétons et de la polychromie. À cette occasion, nous rencontrerons le maire de Vire Marc Andreu Sabater.
Déjeuner avec Annie Rossi, Nicole Desmottes, mairesse déléguée de Roullours, grande amatrice d’architecture, membre du conseil du CAUE, l’architecte Judith Wach, cheffe de projet Action cœur de ville, responsable du service Architecture, Patrimoine et Développement local, le directeur de cabinet Fançois Amorim Machado.
Nicole Desmottes nous emmènera ensuite à Roullours où, notamment, se construit la salle des fêtes (cabinet d’architecture cannais : Thomas Bernard et Cécile Lepourry).
En deuxième partie de l’après-midi, visite du centre-ville de Vire avec Judith Wach.
Nous en profiterons pour voir deux copropriétés réhabilitées inaugurées le jour même qui ont fait l’objet d’une restauration patrimoniale exemplaire des bétons et de la polychromie.
Infos pratiques
Départ gare Montparnasse-3 Vaugirard à 7h38 –> 10h39
Retour 18h54 –> 22h05 (il y a un train à 15h15 si certain.e.s souhaitent repartir plus tôt).
Inscription indispensable auprès de : asso.ajibat@gmail.com
Coût estimé 30 € sans facture /60 € avec .
Réservé aux membres de l’Ajibat
Zurich :
les coopératives renouvellent le logement social
Le mercredi 6 novembre 2019, 9h à la cité de l’Architecture et du patrimoine.
Inscription d’ici le 5 novembre à : asso.ajibat@gmail.com
Périodiquement la Suisse se rappelle à l’attention du monde de l’architecture par des projets remarquables. Après le Le Tessin dans les années 1970, Bâle la décennie suivante, puis les Grisons, c’est aujourd’hui Zurich qui attire, et pas seulement les architectes mais aussi les maîtres d’ouvrage. Ce qu’ils viennent voir : de nouveaux et remarquables ensembles de logements. Leur auteur : non pas quelques stars de l’architecture internationale, mais une très vieille institution, les coopératives de logements. Pour la première fois en France, avec plus de trente projets et réalisations, une exposition à la Cité de l’architecture et du patrimoine révèle l’ampleur et la qualité de cette production. Dans une scénographie originale, maquettes, grands plans, films permettent de prendre la mesure de ce qui fait le grand intérêt de tous ces projets : innovation typologique, insertion urbaine remarquable, articulation fine entre la sphère de l’intimité du logement et la relation avec la communauté des autres habitants.
Sur une proposition d’Isabelle Rey, nous serons accueilli.e.s par les commissaires de l’exposition : Dominique Boudet, critique d’architecture et Martin Lepoutre, architecte EPFL.
Cité de l’architecture et du patrimoine
Galerie d’architecture moderne et contemporaine
1, place du Trocadéro-et-du 11-Novembre Paris 16e.
Réservée aux membres de l’Ajibat
Visite du chantier de la future gare de Nanterre, l'une des stations du projet Éole. Eole est le nom donné au projet de prolongement vers l'ouest de 55 kmdu RER E. Nous visiterons une des stations créées à cet effet, celle de Nanterre. Nous serons accueilli.e.s par : - Aurélie Carnel, directrice d’opérations Zone La Défense – Nanterre; - Anne Mériglier, Maitrise d’œuvre ; - Armelle Lagrange, directrice de la communication et des relations institutionnelles. Le point de rdv est fixé à l’entrée du chantier au 260 rue de la Garenne, 92000 Nanterre entre 13h50 et 14h. Accès RER A Nanterre-Préfecture, prendre la sortie 4, Les Terrasses puis prendre le pont Célestin-Hébert, le chantier est sur la droite. Nombre de places limité à 10. Inscription obligatoire d'ici le 5 novembre à : asso.ajibat@gmail.com Visite réservée aux membres de l'Ajibat
Rencontre avec Sébastien Maire, délégué général à la transition écologique et à la résilience de la ville de Paris.
Canicule, tempêtes, inondation, terrorisme, crise sanitaire, manifestations, piratage informatique… les crises que les villes doivent affronter se multiplient, sont toujours plus complexes et peuvent se produire simultanément. Paris, qui fait partie du réseau des 100 villes résilientes (100 RC) a développé sa stratégie de résilience, pilotée par Sébastien Maire.
Il viendra nous expliquer en quoi consiste la résilience d’une ville et comment on élabore une stratégie résiliente.
Rendez-vous le mercredi 4 décembre, à 8h45, au café Zimmer, 1 place du Châtelet 75001 Paris.
Inscription jusqu’au 2 décembre : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat
Visite de l’exposition « Hôtel métropole – depuis 1818 », le mardi 7 janvier 2020
Alternative possible le mercredi 8 janvier à 9h.
Figure familière de nos villes, enracinée depuis toujours dans le paysage urbain, l’hôtel est un édifice en mutation perpétuelle construit pour anticiper les évolutions sociétales, économiques et culturelles. La manifestation « Hôtel Métropole – depuis 1818 » révèle l’histoire de cette architecture depuis sa naissance, dresse le portrait du parc hôtelier métropolitain actuel et explore les perspectives de ces établissements à l’heure des nouveaux enjeux climatiques.
Olivier Namias et Catherine Sabbah, co-commissaires de l’exposition, tous deux membres de l’Ajibat, nous feront une visite guidée de l’exposition.
Rendez-vous sur place à 12h55, la présentation commencera à 13h.
Pavillon de l’Arsenal
21 boulevard Morland Paris 4e
Inscription obligatoire d’ici le 3 janvier : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat
La visite est reportée après les élections municipales
Saint-Denis quartier Brise-Echalas, résorption de l’habitat insalubre
Pour faire face aux marchands de sommeil, à la spéculation immobilière sur les immeubles privés et à la paupérisation des habitants, Plaine Commune mène une action vigoureuse, aux côtés de la Soreqa(1), afin de travailler en dentelle sur les secteurs les plus dégradés du territoire de l’établissement public territorial. Objectif : changer l’image et l’habitabilité du quartier en recréant un habitat sain, via la réhabilitation du bâti ancien ou de créations d’architectures contemporaines.
A l’entrée de Saint Denis, tout près de la station de RER Saint-Denis, le quartier a été profondément requalifié, dans le cadre d’un PNRQAD : l’entrée de ville a été redessinée et ouverte, au moyen d’une place publique structurée par trois bâtiment neufs de logements familiaux et pour étudiants et jeunes travailleurs, construits à la place d’hôtels meublés insalubres et d’immeubles vétustes. Une pharmacie toute neuve anime la place où des arbres à fleurs ont été plantés. Une ancienne impasse aux allures de coupe-gorge a été percée et végétalisée ; elle dessert l’école, ainsi qu’une crèche, un espace de jeux et des logements nouvellement créés.
Comment Plaine commune, et son opérateur la Soreqa ont mené ce projet urbain ? Quels étaient les enjeux de départ ? Quels choix ont été opérés ? Quels partenaires ont participé (bailleurs sociaux, promoteurs, particuliers) ? Comment maintenir les prix de sortie imposés par Plaine commune pour le logement ? Quel projet démographique et sociologique pour la ville ?
Réservé aux membres de l’Ajibat
Rencontre via Lifesize avec Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement au sein du ministère de la Transition écologique.
L’actualité du logement étant particulièrement riche, nous axerons nos échanges autour de la relance de la construction de logements, et notamment de logements sociaux, et du volet logement du projet de loi Climat et résilience.
Nous enverrons les liens de connexion la veille de la rencontre à celles et ceux qui ce seront inscrit.e.s.
Réservé aux membres de l’Ajibat.
Rencontre avec Olivier Klein et Nicolas Grivel,
respectivement président et directeur général de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru).
Un peu plus de deux mois après l’annonce de l’augmentation de deux milliards d’euros du budget du NPNRU, cette rencontre sera l’occasion de revenir sur l’actualité du programme et de l’agence mais aussi plus largement sur les enjeux de la rénovation urbaine, de la reconstruction de logements sur site à la gestion des quartiers au-delà des travaux.
Vendredi 16 avril de 9h à 11h, cette rencontre se fera via zoom. Plus de précisions seront données par lettre d’information d’ici la rencontre.
Inscription obligatoire à : asso.ajibat@gmail.com
Réservée aux membres de l’Ajibat
Visite de l’écoquartier fluvial, Village olympique 2024 Jeudi 17 juin à 10h30, RV à la mairie de l’Île-Saint-Denis – 1 rue Méchin – où une présentation préalable nous sera faite par l’agence Philippon-Kalt, architecte-urbaniste coordinatrice, et de Philippe Monges, conseiller municipal spécial urbanisme et intercommunalité de l’Île-Saint-Denis qui a suivi l’ensemble du projet. Puis visite du site qui se poursuivra par un déjeuner au 6b (à charge de chaque participant 15€) où nous serons rejoints par Gwenaëlle Bordet, chef de projet à la direction de l’aménagement secteur ouest de Plaine-Commune. Après le déjeuner, une balade jusqu’au quartier sud est envisageable pour celles et ceux qui le souhaitent et disposent d’un véhicule. Avec une superficie de 22 ha, soit 1/5e de L’Île-Saint-Denis, la reconversion du site des entrepôts en écoquartier fluvial représente une occasion exceptionnelle pour la ville. Deux premières phases de l’écoquartier sont déjà réalisées : la Friche Michels, première pierre de l’écoquartier fluvial en 2012 et 2014 et la phase 1 du secteur du Printemps de 2016 à 2020. Les phases 2 et 3 du secteur du Printemps accueilleront les athlètes olympiques en 2024 pour retrouver leur destination d’origine en 2025. L’avènement des Jeux Olympiques, accélérateur pour l’ensemble du territoire, garantit la réalisation de trois projets ilodyonisiens essentiels : la passerelle reliant l’écoquartier à Saint-Denis, le dévoiement des lignes à haute tension, l’écran anti-bruit sur l’A86. Une réflexion approfondie a ainsi été menée sur les thématiques suivantes : la cohésion sociale et la mixité ; la forme urbaine et l’identité insulaire, la mobilité et l’accessibilité ; l’eau, le paysage et la biodiversité, l’énergie et le climat ; le métabolisme urbain. Afin d’assurer l’exemplarité de l’écoquartier dans le temps, le projet réinterroge les règles, anticipe les réglementations et intègre des expérimentations dans chaque thématique. Nous envisageons un déplacement sur place à vélo (quelques-uns pourront nous être prêtés) si le temps le permet et si quelques courageux/ses s’y rendent avec leur propre vélo ou autre véhicule. Cela permettrait de parcourir l’île sur toute sa longueur. Inscription nécessaire d’ici le 13 juin : asso.ajibat@gmail.com Visite réservée aux membres, journalistes et associés, de l’Ajibat. |
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Vendredi 3 septembre, une matinée (9h30-14h) sur le campus urbain de Saclay, à la découverte de ses résidences étudiantes
PROGRAMME DE LA VISITE :
8h : RDV à Denfert-Rochereau – Face à la station de RER B
8h30 : départ en bus pour le Campus de Saclay – Accueil et introduction par Benoit Lebeau, Directeur de l’aménagement
9h30 : arrivée au Corner des projets – Pause café et présentation par Benoit Lebeau autour des maquettes
10h : visite du quartier de Moulon
Départ à pied en direction des résidences Serendicity (Linkcity Ile-de-France / LAN et Clément Vergély Architectes), Joliot Curie (Kaufman & Broad / DATA Architectes) et George Sand (Batigère / SOA Architectes)
10h30 : visite de la résidence Eileen Grey (Paris Habitat / Tank Architectes)
11h : visite du quartier de l’École Polytechnique
11h-11h30 : visite de la résidence Rosalind Franklin (1001 Vies Habitat / Bruther et Baukunst), équerre d’argent 2020
11h30 : passage à pied par la résidence Kley (Bouygues Immobilier / XDGA – FAA) puis les résidences Alexandre Manceau (Immobilière 3F – Résidences sociales de France / 51N4E associé à Bourbouze & Graindorge) et Jean d’Ormesson (Batigère / L’AUC).
12h : visite du chantier de la résidence S1.2 (1re résidence étudiante en bois du Campus – Demathieu Bard Immobilier / Agence WOA)
12h30 : panier repas – déambulation dans le quartier
13h30 : retour en bus pour Denfert-Rochereau
Réservé aux membres de l’Ajibat.
Le casse-tête de la transformation de bureaux en logements
Le sujet de la transformation de bureaux en logements a pris une ampleur inédite depuis la crise du coronavirus avec l’amplification du télétravail. Action Logement a mené une étude pour l’Île-de-France, sur la base d’hypothèses qui révèle que si 60 % des emplois s’exercent en télé travail deux jours par semaine, il y aura un potentiel de 300 000 m2 supplémentaires par an, transformables en logements. Il y a aujourd’hui quelques 4 millions de m2 de bureaux vacants en région parisienne, soit une augmentation de 30 % entre 2019 et 2020. Parallèlement, la construction de logements, sociaux et privés a fortement dévissé en 2020.
Cette façon de « faire la ville sur le ville » participant à la réduction du rythme de l’artificialisation des sols a le vent en poupe. Il a été le sujet d’appel à projet innovant tel que Réinventer Paris et Inventons la Métropole du Grand Paris. Action logement a créé une foncière de transformation immobilière pour la production de 20 000 logements sociaux, intermédiaires, en accession libre ou à prix abordable, créés à partir bureaux transformés. Elle va mobiliser des moyens importants : 1,5 milliard d’euros sur 3 ans, 50 % en fonds propres et 50 % en prêts à très longs termes.
Les logements issus de la reconversion de bureaux sont à la fois des logements familiaux mais aussi des résidences étudiantes ou séniors ou du coliving pour des personnes en transition.
Mais transformer des bureaux en logements est loin d’être un long fleuve tranquille : coût important d’acquisition des immeubles, complexité de la transformation, volonté politique, ingénierie…
Raphaël Tréguier directeur cabinet de conseil Kareg spécialisé dans la transformation de bureaux en logements, Alexandre Chirier, directeur de la foncière logement d’Action logement dédiée à cette activité, évoqueront les différents enjeux de cette mutation et Norbert Fanchon, président du directoire du groupe Gambetta.
Rendez-vous le mardi 21 septembre à partir de 8h45 pour un échange avec eux entre 9 h à 11h au café Zimmer 1 place du Châtelet.
Inscription indispensable avant le vendredi 17 septembre : asso.ajibat@gmail.com
Réservé aux membres de l’Ajibat